Olivier Billon

Cheminer dans la Tadrart, c’est accepter les rêves sans ancrage.
Je ne suis qu’un invité du désert. Quelques jours sans autre repère que la ligne incertaine d’un horizon étranger à tout souvenir.
Je suis dans un temps où tout n’est que Paysage.
Cadrer en ces lieux semble une hérésie.